vendredi 24 juin 2016

Fabrice Balanche à Damas en voyage payé par des associations servant d'écrans au régime barbare pour rémunérer ses consultants externes

Nous allons reprendre l’étude de notre échantillon d’enragés ayant effectué un séjour en Syrie après 2011, en se penchant sur les trois individus alpha, Gérard Bapt, Fabrice Balanche, Abdelhamid Abaaoud. Ce trio d’individus, dont les personnalités sont radicalement différentes, entre le xénophobe Gérard Bapt, président du groupe d'amitié franco-syrienne à l'Assemblée nationale, Fabrice Balanche, un artisan de la haine, un esthéticien de la barbarie, et Abdelhamid Abaaoud, pervers et psychopathe, tueur sans merci, existe deux points communs, avoir effectué plusieurs séjours en Syrie après 2011, et de bénéficier d’une impunité total pour leurs crimes de guerre contre les syriens.
L’impunité dont a bénéficié à Abaaoud, qui se vantait de pouvoir franchir les frontières européennes très facilement, alors qu'il participait à la guerre contre les rebelles syriens, et n’a pas hésité à poser pour Pais Match tractant les cadavres de rebelles syriens de l’ASL, Abaaoud est devenu activement recherché quand il a tué en France, il pouvait continuer à tuer en Syrie en toute tranquillité, si seulement il n'avait pas commis l'erreur fatale de tuer en France.
Cette impunité bénéficie aujourd’hui à Gérard Bapt et Fabrice Balanche qui ont transformé le groupe d'amitié France-Syrie à l'Assemblée nationale, en une officine de falsification à la solde de la Russie, et servir sa stratégie de communication visant à faire l’apologie de la violence gratuite contre les sunnites syriens. Et inciter le régime à une vengeance de plus barbare.
L'objet de la falsification, le 16 mai 2016 le député Gérard BAPT, Président du Groupe d’amitié France-Syrie a publié le communiqué suivant :
Gérard BAPT dénonce ‎le massacre de familles alaouites perpétré dans leur village d’Al Zara, province de Hama, par des groupes comportant notamment Arhar al Sham, Jaish al Islam et Ajuda Homs (ex El Farouk), avec lesquels avait pourtant été passé un accord de conciliation et de non-agression.
Les corps des hommes égorgés ont été jetés dans le lac de Rastane. 115 civils, dont le maire, des femmes et enfants ont été emmenés à Rastane.
L’inscription sur la liste des groupes terroristes d’Arhar al Cham et de Jaish al Islam a été récemment refusée au Conseil de sécurité sur opposition de 5 pays occidentaux.
Les gouvernements de ces pays, dont la France, doivent intervenir à Ryad et auprès du HCN à Vienne et Genève, pour obtenir la libération sans délai des otages civils.
Paris, le 16/05/2016
Cette version erronée des faits a été reprise et diffusée par Fabrice Balanche qui lui a apporté une caution scientifique en tant d’expert de la Syrie.
La version des faits selon les rebelles, Le 12 mai 2016, la chambre d’opération de la région du nord de Homs, Jabhat anNosra, Ahrar ashSham et plusieurs groupes locaux, a lancé la bataille vengeance pour Alep, les rebelles ont pris le contrôle du village azZara après des affrontements avec les milices pro-régime, six civils armés ont été tués, 4 hommes et deux femmes, une vingtaine de civils et des dizaines de miliciens ont été capturés.
La version des faits selon le régime, les terroristes de Jabhat anNosra et de Ahrar ash-Sham ont attaqué le village azZara ont tué et pillé, sans donner de chiffres précises sur le nombre de morts ou de disparus
Les témoignages diffués par la télévision du régime, de miliciens alaouites présentent à Zara au moment de l’attaque « une infermière évoque une dizaine de morts et blessés, un autre milicien évoque entre dix et vingt morts et blessés.
La version des faits selon l’AFP, BBC, et l’OSDH Observatoire syrien des droits de l'homme, Des hommes armés liés à alQaïda ont attaqué le village de Zara tuant dix-neuf civils dont six femmes, et ont pris des civils en otages.
lien BBC

Des erreurs et des falsifications

Le communiqué est tout aussi indigne du président de l'amitié franco-syrienne que du scientifique spécialiste de la Syrie, avec une erreur factuelle à souligner :
Le communiqué avance le "nombre de 115 tués" pour suggérer la barbarie de l'opposition sunnite. Probablement la xénophobie des auteurs de ce communiqué les empêche de donner le nombre exact des tués. Les auteurs du communiqué oublient également les bombardements sur Alep ou chaque baril fait plus de morts que l'attaque des rebelles à Zara. Ils oublient surtout que les médias pro-régime annoncent 19 personnes tuées, et qu'aucun média n'a évoqué le chiffre de 115 morts, il semble à l’évidence que ni Gérard BAPT ni Fabrice Balanche ne comprennent un mot d'arabe car quelqu'un qui comprend l'arabe à 10% éviterait de commettre une erreur aussi grossière avec tell imprécision.
Le 16 mai 2016 le centre syrien d’information, une agence de presse pro-régime, a publié le bilan définitif de l’attaque contre le village d’azZara, 6 morts et 51 disparus ou otages, dont 5 enfants et 13 femmes et deux hommes ont été libérés le 25 mai 2016, vidéo de libération des otages diffusée par le régime. Le reste de personnes capturées sont des miliciens armés, des négociations sont en cours pour un échange de prisonniers.
Dans leur version des faits les auteurs du communiqué donnent délibérément une version erronée des faits, les corps jetés dans le lac Rastan sont le fruit de leur imagination xénophobe, une grossière manipulation destiner à aider Moscou dans sa guerre barbare contre la population sunnite en Syrie, et inciter le régime à intensifier ses raids contre la ville d’Alep. Cette version mensongère révèle la barbarie et la xénophobie et la nature profondément criminelle de ses auteurs enragés et assoiffés de sang. Un communiqué qui démontre une volonté farouche de semer la haine, d'inciter à la barbarie et de transformer la Syrie en un lieu où règne la vengeance.

Une vidéo qui met en relief les effets dévastateurs de cette entreprise criminelle, sur les civils sunnites à Alep, en replacent cette falsification dans le timing des bombardements russes sur la ville d’Alep, entre le 23 avril et le 03 juin 2016.
Les civils sunnites à Alep, qui ont subi une augmentation significative de la violence des frappes aériennes, ont été les premières victimes de l'utilisation, par la Russie, au conseil de sécurité de l'ONU, de ce communiqué falsifié par Fabrice Balanche et Gérard Bapt.


Les auteurs du communiqué du 16 mai, sont des tueurs dont l’instinct de tueur n’est parasité ni par les considérations humanitaires ni par la compassion à la population bombardée par les bombes à sous-munition au phosphore blanc, des enragés assoiffés de sang à l’image de une société livrée à ses plus bas instincts de vengeance. Les terroristes en col blanc ne tirent pas à la Kalachnikov mais ils interviennent dans la couverture médiatique en falsifiant les événements.

dimanche 5 juin 2016

Le monastère catholique de Deir Mar Yakub, instrument de propagande sectaire, au service d’une entreprise criminelle visant à déporter et exterminer la population sunnite en Syrie 

Il y a maintenant trois ans, le 5 juin 2013, la milice chiite de Hizbollat a défilé sur les ruines de la ville d'al-Qusair, je vais profiter de l'occasion de ce troisième anniversaire pour décrypter les étapes du scénario de l’extermination d’une ville sunnite par une vidéo Exterminationd'une ville sunnite, mode d'emploi qui reprend les phases suivantes : 
  • Une période de manifestation pacifistes, arrestation et élimination de militants pacifistes, funérailles de manifestants et militants tués par l’armée du régime qui se transforment en manifestation, cette période a duré de mars 2011 à mars 2012
  • Bombardement de toutes les infrastructures de la ville ponts, hôpitaux, station de production électrique, station de pompage de l’eau potable de quoi rendre la vie des habitants extrêmement dure
  • Siège de la ville par la milice de Hizbollat et l’armée du régime avec bombardement aveugles et intensifs pour faire fuir le peu de civils qui restent et les derniers combattants de l’opposition
  • Assaut final suivi d’une parade de l'armée du régime et milices chiites sur les ruines de la ville
  • Propagande médiatique pour diaboliser la population sunnite et rendre définitive la déportation de la population. 
La vidéo démontre que la stratégie d’épuration ethnique, comporte deux volets étroitement liés : volet militaire et répressif, exécuté par l’armée du régime et la milice chiite libanaise le Hizbollat, visant à tuer les militants pacifistes et faire fuir la population hostile au régime. Et un volet médiatique exécuté par le monastère catholique de Deir Mar Yakub, sous forme d’un plan média visant à diaboliser les opposants du régime par l’invention d’un génocide de chrétiens d’orient.

Le monastère de Deir Mar Yakub

Le monastère de Deir Mar Yakub se trouve en zone d’influence chrétienne. C’est dans cette zone que les jihadistes de notre échantillon de français ayant séjourné en Syrie après 2011, opèrent et participent aux crimes de guerre contre la population du Qalamoun, en assurant le volet médiatique.
Nous allons se pencher sur deux individus de cet échantillon, et voir comment les extrémistes catholiques ont transformé les monastères du Qalamoun en instrument de propagande sectaire, au service d’une entreprise criminelle visant à déporter et exterminer la population sunnite en Syrie.
Le monastère de Deir Mar Yakub est une véritable organisation terroriste dirigée par une palestinienne, détentrice d’un passeport libanais et un autre français, elle est tout sauf syrienne.
Agnès-Mariam de la Croix, ou Fadya al-Laham en arabe, a la classe de vivre en Syrie pour consacrer sa vie à une haine féroce de la Syrie en générale et particulièrement pour la population sunnite du Qalamoun.
A la tête d’un monastère qui gère un budget de centaines de millions d'euros "escroqués" abusivement par Agnès-Mariam de la Croix, et sa clique de SOS chrétiens d’Orient, aux catholiques de France, en faisant croire à l'existence d'un génocide de chrétiens d'orient, aucun chrétien n’a été massacré en Syrie, le génocide de chrétiens en Syrie, est un génocide sans morts, un leurre pour camoufler la cruauté implacable des chrétieno- alaouites.
Qusair est une ville de 42 000 habitants située au sud de la ville de Homs, au début de la zone d'influence chrétienne
Les chrétiens ont quitté la ville d’al-Qusair, devenue invivable à cause des bombardements, comme l’ensemble de la population, 6000 réfugiés par jour enregistrés par l’ONU au Liban pendant l’attaque du Hizbollat et le régime sur les villes du Qalamoun. Vidéo bombardements sur Qusair de la minute 3 :37 à 8 :42.
L’église d’al-Qusair que les extrémistes chrétiens vous montrent à la minute 9 :38 dans la vidéo, sans expliquer que l’église a été saccagée par les bombardements du Hizbollat et du régime sur la ville d’al-Qusair, dans le but de vous escroquer et vous réclamer des dons pour la reconstruire.
Les courriers envoyés par l’association, aux fidèles catholiques, pour réclamer des dons, révèlent plus de l’escroquerie que de l’humanitaire.
Mais en France le racisme anti-syrien est bien vu, il a un côté patriotique avec un zeste de romantisme, personne ne s'interroge sur le bien-fondé du génocide ou sur l'utilisation abusive des sommes qu’Agnès-Mariam de la Croix escroque aux chrétiens français.
Quand on sait que Jaques Myard, a rencontré Agnès-Mariam de la Croix, destinataire final des dons de chrétiens Français, et que le lendemain ce même Jaques Myard a rencontré les responsables de la milice terroriste qui ont bombardé l’église, vu de l'énormité des sommes collectées grâce à l’impact des images de l’église bombardée, on est en droit de s’interroger sur les commendataires de la destruction des églises dans le Qalamoun.
En Syrie, Jaques Myard se présent comme un membre d’une délégation de parlementaires français, en France, il trompe les parlementaires français en cachant ses rencontres avec la milice de Hizbollat et avec la mère supérieure du monastère de saint Jacques le Mutilé. Pour qui roule-t-il vraiment ? Les 1,5 million de déportés syriens au Liban se posent la question.
Personnellement j’ai mon idée mais je préfère la garder pour moi, un jour les Français découvriront que Poutine s’est servi de la Syrie comme appât pour braconner en France et en Europe et que les guignols de l’amitié franco syrienne aveuglés par leur arrogance, ils ont mordu à l’hameçon. Ce jour-là, les journalistes vont s’intéresser à l’agent de Poutine, Agnès-Mariam de la Croix, qui a reçu à Moscou, le prix Femida pour service rendu à la Russie, à la suit du putsch réussi de Jaques Myard contre la politique étrangère du président de la République.
Chez les catholiques intégristes, vouer les syriens aux gémonies rapport de l’argent, ce qui pousse d’autres monastères chrétiens du Qalamoun à se transformer en centre de propagation de xénophobie contre la population sunnite du Qalamoun.

Le monastère de Maaloula

Chez les catholiques intégristes, vouer les syriens aux gémonies rapport de l’argent, ce qui pousse d’autres monastères chrétiens du Qalamoun à se transformer en centre de propagation de xénophobie contre la population sunnite du Qalamoun.
Imaginez qu'un homme politique musulman, xénophobe et connu pour la véhémence de ses prises de position anti-chrétien, investit la mosquée de Paris et la transforme en un centre de falsification pour exterminer les chrétiens. Imaginez les cars débarquant des hordes de chiens de guerre falsificateurs sans scrupule à la mosquée de Paris, pour falsifier et inventer un génocide de musulmans à Barbès.
C'est exactement ce que Robert Ménard fait en Syrie. Personne ne s'interroge sur la moralité de l’utilisation des monastères chrétiens dans le Qalamoun instrument de propagande pour exterminer et déporter les sunnite syriens.
Depuis que le maire Front national de Béziers, Robert Ménard, a commis son hold-up à Maaloula et a fait main basse sur le monastère de Maaloula, pour en faire un centre de falsification et un lieu pour banaliser de cruauté, inhumanité et sauvagerie bestiale. Des hordes de chrétiens racistes se croyant investis d'une mission divine, débarquent à Maaloula pour casser de l'arabe, et enfoncer dans la misère la population locale.
Les syriens ont bien compris qu’ils n’ont pas le droit à l'appellation de réfugié, et ont pris note qu’Assad est l’homme politique le plus interviewé par les médias français.
Mais dans leur combat contre le régime barbare, les syriens espèrent seulement que les églises ne deviennent pas un repère d’extrémistes français, pour inciter au crime. Après 5 ans de répression, au moins dix millions de sunnites expulsés de chez eux, déportés vers les camps d’extermination, et plus de 400 000 personnes tuées, les syriens se passassent bien de ces touristes de la haine. Faute de pouvoir les empêcher de venir en Syrie, les syriens leur demandent tous simplement de respecter les églises, de les garder comme un lieu de prière, et de ne pas les transformer en centre de diffusion de la cruauté et l’inhumanité entre syriens.

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Paris avtivity

Un agenda regroupant tous les événements et activités concernant la Syrie à Paris et en Île de France

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